ATA Magazine

We have work to do to remove barriers

ATA president, Jason Schilling standing in a blue suit in front of a blue background.

We must learn to create a truly inclusive space so women in education and leadership no longer have to fight to be seen.

I have been fortunate in my career to have worked with and been influenced by many women leaders, starting with my mentor when I was a student teacher. Not only did Arlene Purcell support me as I was learning to become a teacher, but also as I learned to become a leader in my school and in my association. In fact, many of my colleagues can trace their involvement in leadership roles back to Arlene. 

For me, Arlene instilled the importance of finding my voice, advocating for what I believe in, and helping guide others in finding their voice. Guiding others is exactly what we must continue to do. As colleagues and as an association, we must create space for women to share their stories, concerns and success.

For many years, the Association has been addressing this by developing women in leadership committees in our locals. While it has been rewarding to see these committees grow and find ways to develop opportunities for women in our profession to connect with one another, we still have much more work to do.

This became pertinently clear to me when I attended a session about allyship at the Association’s Women in Leadership Summit in March. Sitting at a table with several female colleagues, I heard how the “old boy’s club” still affects our female colleagues’ chances of pursuing leadership opportunities and how the next generation of women need to not feel guilty about parenting while pursuing leadership.

Teachers are lifelong learners, but our learning must go beyond books or the latest technology. We must learn to create a truly inclusive space so women in education and leadership no longer have to fight to be seen. Allies need to listen, learn, engage in removing barriers and get out of the way.


Nous avons du travail à faire pour éliminer les obstacles

Dans ma carrière, j’ai eu la chance de travailler avec beaucoup de leadeurs femmes qui m’ont influencé à commencer par mon mentor lorsque j’étais enseignant stagiaire. Non seulement Arlene Purcell m’a soutenu quand j’apprenais à devenir enseignant, mais aussi quand j’apprenais à m’affirmer en tant que leadeur dans mon école et mon association. En fait, bon nombre de mes collègues lui attribuent l’origine de leurs premiers engagements en tant que leadeur. 

Pour ma part, Arlene m’a inculqué l’importance de me faire entendre, de défendre mes convictions et d’aider les autres à se faire entendre. Guider les autres, c’est exactement ce que nous devons continuer à faire. En tant que collègues et en tant qu’association, nous n’avons d’autre choix que de créer un espace pour que les femmes puissent partager leurs histoires, préoccupations et succès.

Depuis de nombreuses années, l’ATA se penche sur la question et forme des comités de leadeurship féminin dans ses sections locales. Et même s’il est gratifiant de voir ces comités prendre de l’expansion, et constater que les femmes de notre profession ont de plus en plus d’occasions de se rencontrer pour établir des liens, il nous reste encore beaucoup de travail à faire.

Cela m’a paru évident lorsque j’ai assisté en mars à une séance sur le thème de l’alliance au sommet Women in Leadership organisé par l’ATA. Assis à une table avec plusieurs collègues femmes, j’ai entendu dire que le « club des anciens » a toujours une grande influence sur les possibilités qui leur sont offertes pour accéder à un rôle de leadeurship et que la prochaine génération de femmes ne devrait surtout pas se sentir coupable d’aspirer à un rôle de leadeurship alors qu’elles assument déjà des respon-sabilités parentales.

Les enseignants apprennent tout au long de leur vie certes, mais notre apprentissage doit aller au-delà des livres ou des dernières technologies. Nous devons apprendre à créer un espace véritablement inclusif afin que les femmes dans l’éducation et dans leurs rôles de leadeurship n’aient plus à se battre pour être vues. Il faut que nos alliés écoutent, apprennent, s’engagent à éliminer les obstacles et se tiennent à l’écart.